lundi 11 mars 2013

Et une de moins

Pendant les vacances Liv a perdu sa première dent. Quelle surprise, je pensais qu'elle avait encore un peu de temps devant elle. Elle était très très contente, car pour elle ça signifie qu'elle devient grande. Même pour nous c'est une étape.
Elle en a déjà d'autres qui bougent, bientôt elle aura un beau sourire édenté.

4 commentaires:

Pooky a dit…

Déjà ?

Je viens de feuilleter en ligne ton nouveau livre. Il est vraiment bien fait et les photos sont magnifiques comme toujours. Tu dois être fière du résultat. Félicitations !

Charlie a dit…

Ouah, c'est tôt dis donc !!! Une bise à l'edentée !!!

CélineD a dit…

Bonjour,

Je viens d'acheter votre livre, que de beaux moments en perspective à passer avec mes enfants !

J'aimerais bien avoir un avis sur un point qui me questionne dans la pédagogie Montessori, reprise également dans votre livre : il s'agit des histoires racontées aux enfants : vous dites et à juste titre titre que les histoires doivent s'inspirer du réel et je suis d'accord mais jusqu'à un certain point. Oui les enfants doivent pouvoir se reconnaître dans des histoires qui s'ancrent dans le quotidien et la routine, mais passé un certain âge, je pense qu'ils doivent aborder des histoires imaginaires type contes de fées car ils y trouvent des réponses à leurs conflits inconscients (oedipe, grandir et quitter le nid, etc.). "Psychanalyse des contes de fées" de Bruno Bettleheim analyse bien ce phénomène. Peut-être pouvez-vous m'orienter sur l'analyse de Maria Montessori à ce sujet ? J'aimerais avoir un contre-point de vue.

Merci et bravo pour votre livre

Eve a dit…

Bonjour Céline,
En ce qui concerne les livres, en effet les enfants, après 6-7 ans peuvent aborder des histoires imaginaires comme les contes.

En revanche pour un petit enfant, il n’y a rien de plus extraordinaire que la vraie vie (puisqu’il la découvre)
mais nous la dévaluons en préférant la réinventer. De cette manière nous rendons tout cela confus pour l’enfant et nous faussons sa faculté à observer et
découvrir les merveilles (simples) de la vie.

Le fantastique viendra plus tard, après que la réalité aura été expérimentée et absorbée et que l’enfant deviendra capable de faire la différence entre ce qu’il lit et ce qu’il pense intérieurement.

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